samedi 25 novembre 2017

Soirée CONTES, au profit des mineurs isolés


Dimanche 10 Décembre à 17h30


Public adultes et enfants à partir de 10 ans


avec les conteuses : Hélène de St Germain,Marcelle Glou,
Nadya Olcer, Michèle Rouhet
accordéon et guitare avec Hélène et Daniel


ce spectacle est organisé par

la Ligue des Droits de l'Homme au profit  des mineurs isolés



 Centre social et Culturel de la maison du bas Belleville, 126 Bd de Belleville, 75020
 ( Places limitées) 


 Reservation :  014366456, ou: ldhparis20@gmail.com





 Entrée libre/Participation au chapeau
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vendredi 17 novembre 2017

GRAINES DE CITOYENS, à l'occasion de la Journée internationale des droits de l'enfant


Chaque année à l'occasion de la Journée internationale des
droits de l'enfant, la LDH 18 est partenaire de la manifestation 
Graines de  citoyens.


Cette année, écoles et centres de loisirs des 18e et 19e arrondissement seront
conviés à participer en différents lieux de ces deux arrondissements à des
activités et ateliers de découverte et d’initiation aux  droits de l’enfant, le 22 novembre.

Activités tous publics . les 20 et 23 novembre. 












vendredi 6 octobre 2017

Ecrire Liberté, à l’école des enfants migrants, rencontre débat 16 novembre

La Ligue des droits de l’Homme, section Paris 19

vous convie à une rencontre – débat

Ecrire Liberté, à l’école des enfants migrants


Avec Lauriane Clément, auteur d’une enquête  sur la scolarisation des jeunes étrangers 

Jeudi 16 novembre 2017, 19h 00  au Café - Librairie des Orgues

108  rue de Flandre  / Impasse de  Joinville



accueil dès 18h30 
Entrée libre – participation aux frais
(une consommation sur place)
Contact : ldhparis19@hotmail.com      ldhparis19.blogspot.fr 


              
    






vendredi 22 septembre 2017

LUTTE CONTRE LE TERRORISME ET LA SÉCURITÉ INTÉRIEURE

AU SUJET DU PROJET DE LOI RENFORÇANT LA LUTTE CONTRE LE 


TERRORISME ET LA SÉCURITÉ INTÉRIEURE



Conférence de presse lundi 25 septembre 2017 – de 13h à 14h
Lieu Commission nationale consultative des droits de l’hommeSalle René Cassin, 35 Rue Saint-Dominique, 75007 Paris
A partir du 25 septembre 2017, la session extraordinaire de l’Assemblée nationale sera consacrée au projet de loi « renforçant la lutte contre le terrorisme et la sécurité intérieure ». L’objectif affiché de ce projet de loi est la sortie de l’état d’urgence. Ce régime d’exception, dérogatoire à l’État de droit et donnant des pouvoirs exceptionnels à l’administration dans un contexte d’attaques terroristes, est en vigueur depuis le 13 novembre 2015. Le gouvernement entend désormais pérenniser la plupart de ses dispositions dans le droit commun.
En juin dernier, alors que le projet de loi fuitait dans les médias, les organisations de défense des droits humains et des libertés fondamentales ainsi que des représentants d’institutions, et de nombreuses grandes voix avaient déjà fait part de leur extrême préoccupation quant aux risques de légalisation de pratiques arbitraires et d’introduction d’une logique de suspicion dans notre justice. Elles n’ont malheureusement pas été entendues. Le texte soumis à l’examen des député.e.s contient de nombreuses dispositions attentatoires aux libertés et droits fondamentaux : présomption d’innocence, procédure judiciaire équitable, droit d’aller et venir, de manifester, droit à la vie privée, liberté d’expression, droit à ne pas être discriminé.e…
Les organisations, avocats et universitaires réunis dans le réseau « état d’urgence / antiterrorisme » n’entendent pas baisser les bras. Elles présenteront lors de la conférence de presse leurs analyses point à point sur le texte législatif et indiqueront les initiatives qu’elles entendent prendre, immédiatement et dans les mois à venir, pour mettre en cause les dispositions liberticides de cette nouvelle loi.
La conférence de presse se tiendra en présence de représentants des organisations citées en-tête, ainsi que des avocats des cabinets Alimi, Raphaël Kempf, Bourdon et Associés, et d’universitaires membres, notamment, Centre de recherche et d’études sur les droits fondamentaux (Credof) de l’Université Paris Nanterre, engagés dans un programme de recherche sur l’état d’urgence 2015-17.
La conférence sera introduite par Mme Christine Lazerges, présidente de la CNCDH.
 Conférence de presse : Amnesty International France – ACAT-France – Collectif contre l’Islamophobie en France – Human Rights Watch – La Ligue des Droits de l’Homme – La Quadrature du Net – Observatoire international des prisons section France – Syndicat des avocats de France – Syndicat de la Magistrature

Communiqués des différentes organisations sur le PJL sécurité intérieure / lutte contre le terrorisme
« L’ÉTAT D’URGENCE EN MARCHE POUR TOUJOURS », La quadrature du net, septembre 2017
« DÉFENDRE NOS DROITS ET NOS LIBERTÉS FACE À L’ÉTAT D’URGENCE », Ligue des droits de l’Homme, septembre 2017
« ÉTAT D’URGENCE : DE L’EXCEPTION À LA PERMANENCE, LES PARLEMENTAIRES AU PIED DU MUR », communiqué commun du Réseau État d’urgence / Antiterrorisme, juillet 2017
« FRANCE : LA LOGIQUE DE L’ÉTAT D’URGENCE TRANSPOSÉE EN DROIT COMMUN », Amnesty International France, juillet 2017
« DE L’ÉTAT D’URGENCE À L’ÉTAT DE SÉCURITÉ », Observatoire international des prisons – section France, juillet 2017
« OBSERVATIONS DU SYNDICAT DE LA MAGISTRATURE SUR LE PROJET DE LOI ANTITERRORISTE », Syndicat de la magistrature, juillet 2017 (une mise à jour de ce document sera diffusée jeudi 21 septembre sur le site du SM)
L’Amatrami, l’ATMF, la Fasti et 

l’Inter- réseaux Mémoires-Histoires


Vous invitent à la rencontre nationale


Migrant-e-s âgé-e-s : les oublié-e-s de l’Histoire



Carré Baudouin




Carré Baudouin

Les migrant-e-s âgé-e-s, font partie de l’Histoire de France. Elles/Ils questionnent en miroir de par leurs trajectoires, les conditions de vie qui leur ont été faites ou sont faites, la relation que la société française entretient avec les groupes et les populations dominés en général. Sans ou avec peu de droits, mis au banc, invisibles… une relégation permanente, une déshumanisation et une atteinte fondamentale de l’intégrité de femmes et d’hommes qui ont construit avec leur force de travail, leur énergie et leurs rêves, la France d’hier et aujourd’hui ! Cette rencontre croise - de manière critique et ouverte -  les regards de témoins, d’historiens, d’anthropologues, d’artistes, de juristes et d’acteurs associatifs et militants tout en proposant des pistes de réflexion et d’intervention pour un traitement égalitaire et une réelle reconnaissance des « migrant-e-s âgé-e-s », et des personnes âgées en général.


Inscription obligatoire
Copaf, Collectif pour l'avenir des foyers <copaf@copaf.ouvaton.org>

lundi 4 septembre 2017

Connaissez vous la LDH ?

Née en 1898  la Ligue des droits de l'homme et de défense du citoyen ....



Quelques éléments pour vous décider à soutenir la LDH  et ses combats
pour les libertés citoyennes, et l'effectivité des droits



adhérer  ou faire un don ? 



jeudi 31 août 2017

10 septembre - Rassemblements contre l’état d’urgence permanent

DÉFENDRE NOS DROITS ET NOS LIBERTÉS FACE À L’ÉTAT D’URGENCE

Communiqué LDH

La Ligue des droits de l’Homme (LDH) est inquiète de l’avenir de l’Etat de droit en France, vacillant dangereusement sous prétexte de lutte contre le terrorisme. Le gouvernement et la majorité présidentielle ont fait adopter cet été une loi et un projet de loi très préoccupants au regard des libertés publiques.
La première prolonge l’état d’urgence jusqu’au 1er novembre 2017. Elle a pour effet de placer, pour la sixième fois, la France sous un régime d’exception pour une durée totale inédite de presque deux ans. Cette décision a été prise alors que ses conditions légales sont loin d’être réunies et que des rapports parlementaires ont démontré son inefficacité dans la lutte contre le terrorisme par rapport à celles mobilisées dans le droit commun.
La France rejoint ainsi l’Ukraine et la Turquie, seuls autres pays à subir un tel droit d’exception.
Le projet de loi qui va être discuté à l’Assemblée nationale, supposé nécessaire pour sortir de l’état d’urgence, introduit dans le Code de la sécurité intérieure, après les lois des 3 juin et 21 juillet 2016, des dispositions qui accroissent considérablement les pouvoirs de police administrative, du ministre de l’Intérieur et des préfets. Elles marquent une atteinte grave à l’équilibre des pouvoirs et sont largement inspirées par l’état d’urgence avec sa logique de suspicion et de contrôle de masse.
La LDH dénonce ces choix faits sans même qu’ait été pris le temps d’une évaluation pertinente des législations à peine antérieures et sans s’interroger sur l’efficacité réelle de l’action des services de renseignement et de lutte contre le terrorisme. Ils sont d’autant plus préoccupants que, si ces mesures se sont avérées largement inefficaces contre le terrorisme, elles ont favorisé des abus et des dérives comme la stigmatisation d’une partie de la population, en raison de son origine ou de sa religion.
La LDH met en garde contre ces dangereuses dérives et la création d’un véritable droit d’exception sans cesse renforcé qui ampute, de fait, sans retour, les droits et libertés de chacun-e, au mépris de l’Etat de droit et des engagements internationaux et européens de la France.
La LDH, avec toutes ses sections locales, s’adressera aux parlementaires sur le contenu de ces lois en rappelant pourquoi elle estime nécessaire de rompre avec l’état d’urgence.
Elle participera partout, le 10 septembre, aux rassemblements et aux manifestations contre l’état d’urgence permanent, qu’il se cache derrière une décision d’exception ou qu’il soit le résultat de sa normalisation.

Paris, le 31 août 2017