mercredi 15 mars 2017

LE 19 MARS, CONTRE LES VIOLENCES POLICIÈRES, LES DISCRIMINATIONS, LE RACISME

LE 19 MARS,


A PARIS COMME PARTOUT EN FRANCE, 

MARCHONS POUR LA JUSTICE. 


Le 19 mars aura lieu, à Paris à partir de la place de la Nation à 14h, une marche pour la justice et la dignité.  Elle se tient après l’agression insupportable dont Théo a été, après beaucoup d’autres avant lui, la victime.

Soyons nombreuses et nombreux à nous retrouver avec nos drapeaux derrière la banderole de la LDH.

Lisez ici l'appel cosigné par les associations LDH, MRAP, CGT  et FSU.




LE 19 MARS, CONTRE LES VIOLENCES POLICIÈRES, LES DISCRIMINATIONS, LE RACISME. PARTOUT EN FRANCE, MARCHONS POUR LA JUSTICE.

Le 19 mars aura lieu, à Paris place de la Nation à 14h, pour la deuxième année consécutive, une marche pour la justice et la dignité. Nos organisations appellent à la solidarité et à cette manifestation qui se tient à l’appel des familles de victimes de violences policières. Elle se tient après l’agression insupportable dont Théo a été, après beaucoup d’autres avant lui, la victime.
Parce que les violences policières ne sont pas commises qu’en Ile-de-France, parce que les victimes de ces violences sont de toutes origines, c’est partout en France que nous appelons à manifester le 19 mars 2017.
Avec ces marches, nous crions notre colère.
Colère face à des violences policières dont le caractère répétitif trahit une conception pervertie de la sécurité publique et de la protection des citoyens ; colère face à une impunité manifeste et à un « deux poids, deux mesures » qui minent l’égalité des citoyens devant la justice ; colère devant des décisions gouvernementales qui visent à renforcer le poids de la police vis-à-vis de la justice, de la jeunesse et de la population.
Avec ces marches, nous signifions : alerte !
La police exerce un métier difficile. Il lui arrive d’en payer chèrement le prix et de dénombrer ses victimes, tombées parfois dans d’atroces conditions. La France ne manque pas d’en porter le deuil. C’est donc une énorme responsabilité que d’être policier, de porter arme à la ceinture, d’incarner la force de la loi et, au-delà, la République. Cette responsabilité n’autorise aucun passe-droit ; au contraire, elle oblige. D’où notre alarme : manifestations de racisme, discriminations, comportements humiliants, violences et indulgences coupables marquent aujourd’hui les interventions policières.
Avec ces marches, nous disons : une autre police est nécessaire.
Cette situation relève certes d’un contexte politique dégradé, marqué d’inégalités, d’injustices et d’invocations à un ordre qui se retourne contre les libertés individuelles et collectives. Pour autant, elle n’est pas fatale et il est impératif d’adopter des mesures qui recentrent la police sur ses missions de protection, bannissent les comportements agressifs, punitifs et humiliants, créent les conditions de confiance entre police et population.
Avec ces marches, nous portons des demandes précises.
La police doit retrouver sa vocation de protection dans une relation de proximité exercée dans le respect des personnes et de leurs droits. Ses agents doivent recevoir une formation conforme à ces objectifs.
Le gouvernement doit rouvrir le dossier du récépissé pour les contrôles d’identité. Sa fonction n’est pas du même ordre que celle des caméras, dont il a seul décidé la généralisation et dans des conditions discutables.
Les méthodes d’interpellation à hauts risques déjà interdites dans nombre d’autres pays européens doivent être bannies.
Aujourd’hui, le gouvernement doit prendre les mesures qui s’imposent et ouvrir les discussions nécessaires.
Avec ces marches c’est la liberté, l’égalité et la fraternité que nous défendons.
Les violences policières, dès qu’elles font – ou semblent – faire système, sont un coup de poignard plongé dans le cœur de la République : elles foulent les libertés aux pieds, mettent à bas l’égalité des citoyennes et des citoyens devant la police et la justice, substituent les stigmatisations haineuses et les enfermements identitaires aux valeurs qui fondent notre réalité plurielle, laquelle est aussi notre identité collective.
C’est pour ces raisons et pour ces objectifs que nous appelons les citoyennes et les citoyens, toutes celles et ceux qui vivent, étudient et travaillent en France, à marcher le 19 mars.

Blog des familles des victimes :  cliquez  ici

dimanche 12 mars 2017

Nuit des débats / Café citoyen


"Protection de la vie privée et collective face aux technologies numériques"
vendredi 24 mars, à partir de 19 mars


Bistrot populaire 77 Bd Beaumarchais


avec la participation de Maryse Artiguelong, co-responsable du groupe de travail
"libertés et technologies de l'information et de la communication"
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Ciné-droits de l'Homme

Projection-débat « Un Paese di Calabria »

Film de Shu Aiello et Catherine Catella, France/Italie/Suisse, 2015, 1h30, VOSTF

Au cinéma Majestic Bastille (M° Bastille), le dimanche 19 mars à 11 heures

La projection sera suivie d'un débat, sur le thème Droit d'asile, droit d’accueillir, en présence de
  • Shu Aiello, réalisatrice
  • Catherine Teule, Vice-présidente de l'Association européenne pour la défense des droits de l'Homme (AEDH).

Dans le cadre des rendez-vous Ciné-Droits de l'Homme, la Fédération de Paris de la Ligue des Droits de l'Homme 
et l'association "Autour du 1er mai" vous invitent à la projection du film « Un Paese di Calabria »

Le village de Riace au sud de l'Italie a longtemps subi un exode rural massif. Un jour, un bateau transportant deux cents kurdes échoue sur la plage. 
Spontanément, les habitants leur viennent en aide. Petit à petit, migrants et villageois vont redonner vie au village.

Le film nous immerge au cœur de cette vie avec ses traditions archaïques et sa modernité.

Ainsi, alors que dans les pays de l'Union Européenne, l'accueil des migrants est présenté comme une charge impossible à assumer, dans ce village pauvre de nombreux migrants de toutes origines sont accueillis et semblent s'intégrer sans difficultés particulières.



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lundi 27 février 2017

Soirée-débat "Les migrants : déconstruire nos préjugés"



Mercredi 08 mars, 19h au Hang Art (Paris 19)

Le collectif Solidarité Migrants 19ème 
organise une soirée-débat 


Les Migrants, pourquoi viennent-ils ?
Pourquoi les accueillir ? 
Sont ils un danger ou en danger ?... 



Venez vous informer, partager vos expériences et en discuter! 

Avec Catriona Laing (Cimade) et  Bernard Schmid (Gisti)

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Mercredi 08 mars   -  19h
Hang Art, 63 quai de Seine, 75019 Paris



le collectif regroupe 
ATTAC 19/20, adhérents de la CNL, Ensemble!19, LDH 19, MRAP 19/20,  NPA 19, PCF 19, PG 19,  RESF 19, P’tit déj à Flandres 


https://www.facebook.com/events/107140806480278/




mardi 24 janvier 2017

Le 26 février dès 16h 
 Théatre de la Reine Blanche 

venez débattre  autour des enjeux démocratiques et écologiques 
 du Monde qui vient !



mercredi 18 janvier 2017

Mobilisation contre le contrôle au faciès



jeudi 8 décembre 2016

Collectif pour une Syrie libre et démocratique - manifestation le 10 décembre




Communiqué du
Collectif pour une Syrie libre et démocratique

Paris, le 7 décembre 2016




Appel à une mobilisation du peuple français et des peuples européens ce samedi 10 décembre pour sauver Alep du massacre et imposer un « ultimatum humanitaire » à ses bourreaux
Un carnage à très grande échelle se déroule sous nos yeux depuis plusieurs semaines à Alep. Les aviations russe et syrienne se livrent, au mépris de toutes les conventions internationales, à des bombardements massifs qui ont réduit en poussière les infrastructures sanitaires d’Alep-Est et coûtent quotidiennement la vie à des dizaines de civils. Le témoignage apporté dans les médias et auprès des pouvoirs publics français par le maire d’Alep-Est, Brita Hagi Hasan, est éloquent quant à l’horreur subie par les Aleppins. Les quartiers rebelles de la ville sont en train de devenir un tombeau à ciel ouvert pour les 250.000 habitants qui y vivent encore. La reconquête d’Alep-Est par l’armée loyaliste et les milices pro-iraniennes s’accompagnent d’exactions, de massacres et de disparitions forcées qui font craindre le pire pour celles et ceux qui survivront aux bombardements.

Face à ce déluge de barbarie et à cette complaisance pour des crimes de guerre à grande échelle, le temps n’est plus aux proclamations et aux réprobations courtoises. Le Conseil de Sécurité de l’ONU est rendu inefficace par les vétos répétés de la Russie (et maintenant de la Chine). Or, la convention de 1948 pour la prévention et la répression du génocide donne aux États l’obligation d’agir. Un « ultimatum humanitaire » doit donc être lancé à Vladimir Poutine : les grandes puissances européennes doivent annoncer la mise en place unilatérale et immédiate d’une sanctuarisation de l’espace aérien d’Alep pour y réaliser des parachutages humanitaires (vivres, eau potable, aide sanitaire, groupes électrogènes, …) et interrompre les bombardements.




Notre impuissance à mettre un terme à ces crimes demeurera une tâche morale indélébile pour la conscience mondiale. Détourner les yeux du carnage perpétré sous nos yeux à Alep ne nous protège pas. C’est un acte de compromission morale et de faiblesse politique. Pourtant, nos dirigeants demeurent aujourd’hui hésitants. Nous devons par une mobilisation massive leur montrer le chemin qu’imposent la réalité géopolitique et l’exigence éthique.
Chaque citoyen a les moyens d'avertir plusieurs dizaines de personnes pour contribuer à cette mobilisation, afin de dire non à la barbarie et de sauver cette part d’humanité qui, au travers de ces crimes, est désormais menacée en chacun de nous.






À cette fin, le Collectif « Pour une Syrie Libre et Démocratique » appelle à manifester dans toutes les villes de France et d’Europe :


Samedi 10 décembre 2016 à 16 heures

sur le parvis de l’Hôtel de Ville de Paris

Imposons sans délai un « ultimatum humanitaire » pour sauver Alep

Répondons par notre mobilisation à l’appel désespéré lancé par le maire d’Alep-Est, Brita Hagi Hasan pour sauver les populations civiles

Dans un monde globalisé, tolérer la barbarie aujourd’hui là-bas, c’est la tolérer ici demain.

Télécharger le tract : 
Contact presse : collectif.psld@gmail.com

samedi 3 décembre 2016

Université d'automne 2016 - les Communs, nouvel universalisme

L'Université d'automne 2016 qui avait pour thème





peut se revoir / ré-écouter en ligne .

Pour tous ceux qui n'ont pu assister à toutes les séances.

Et le storify est  ici .